LOCUS SOLUS, THÉÂTRE / DIRECTION ARTISTIQUE THIERRY BORDEREAU
JEU / COORDINATION ACTIONS CULTURELLE
S RÉJANE BAJARD ET THIERRY VENESSON
ADMINISTRATION ANNE-CLAIRE FONT

La plateforme Locus Solus est subventionnée par la DRAC Auvergne Rhône-Alpes, la région Auvergne Rhône-Alpes (convention triennale), le Département de l’Isère
Elle est compagnie associée au Théâtre Jean-Vilar à Bourgoin-Jallieu

En résidence sur le territoire des Balcons du Dauphine


Survivre en milieu hostile















------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
De Sarah Bahr / Mise en scène Thierry Bordereau

Jeu : Réjane Bajard, Pierre Germain et Thierry Vennesson 

Musique : Bruno Fleutelot et Nicolas Lespagnol-Rizzi 

Scénographie Philippe Sommerhalter 

Création Costumes Cathy Ray 
création lumières Franck Besson, assisté de Laura Cottard
Création sonore Mathilde Billaud
Vidéo Véronique Bettencourt 
Régie générale Sébastien Fabry et Philippe Roy
Administration de production Anne-Claire Font 

Coproduction Locus Solus, Théâtre Jean-Vilar, avec le soutien du Ministère de la Culture DGCA aide au compagnonnage avec un auteur, Drac Auvergne Rhône-Alpes aide au projet.


Remerciements Théâtre de la Renaissance, Oullins établissement de Santé mentale des Portes de l’Isère,

Bourgoin-Jallieu, communauté de commune des Balcons du Dauphiné.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
      
Un homme perd pied sur les sables mouvants d’une réalité qui lui échappe. Pris entre les injonctions pas forcément hostiles de son collègue de bureau bientôt investit de tous les fantasmes, de toutes ses peurs, il trouve refuge par téléphone auprès d’une aventurière qui l’appelle au secours et qui ne tarde pas à devenir sa seule planche de salut. Burn out, dépression voir décompression, crise spirituelle à la façon de Théorème de Pasolini, passion amoureuse, révélation, la mise en scène cherche à faire vivre toutes les hypothèses, toutes les perspectives.
Comme moi, Sarah Bahr ne croit plus aux pouvoirs de la forme dramatique pour cultiver notre rêverie intérieure. Désormais trop entourées d’images, de films et de fictions, les conventions narratives usuelles n’opèrent plus.
Pour autant, notre appétit pour le récit me semble-t-il reste à rassasier. Nous avons encore faim d’histoires.
« Survivre en milieu hostile », comme une histoire façon puzzle, une pièce à la signification en kit Ikea qui comme un lego se donne à la construction. Plus question de rester les bras croisés, le spectateur moderne aime se prendre, se perdre et se retrouver, au jeu du sens et l’aventure intérieure nous réserve encore bien des sensations...


Thierry Bordereau



 

Aucun commentaire: